Bref à la bêtise et ses adeptes...
J'ai pris la balle de la haine,la balle du mal, de la peine
Contre laquelle on ne peut rien,celle du racisme, du chagrin.
Ce n'est pas un acte de raciste contre mon ethnie, ma couleur.
C'est plus le geste d'un homme triste qui voit le blanc en horreur...
Il était loin du FN,de Jean-marie et ses frères.
Lui était noir et si fier que croit sa haine et colère.
Il ne vit que dans l'ivresse,cherchant de l'aide dans sa détresse
Mais l'alcool est bien plus fort que son bonheur et ses efforts.
C'est là la perte d'un équilibre,une issue du dégoût de vivre,
Juste une chimère pour survivre bref la fin d'un homme libre.
En attendant qu'il prenne conscience qu'il n'est qu'un pas dans cette danse,
Il continue à errer comme pour toute peine, un condamné.
Il n'a plus le souci du destin tant que la haine lui tend la main
Mais bon la haine est à bout et de ses enfants, elle s'en fout.
L'incompréhension d'un univers qu'il n'a pas connu
Où le noir est un frère que la différence n'a pas vu...
Plus l'homme est raciste,plus l'étranger lui parait bête
Et plus la haine insiste,plus Hitler fait la fête.
Pour une couleur de peau,l'oeil se voit apeuré.
C'est la détresse d'un attristé que le mélange peut effrayer...
Il sent le blanc comme impur,« Tous comme Hitler », ça c'est sûr
Se croyant supérieur,avec le blanc comme erreur.
Il est le chef d'une meute d'imbécile et d'ignorants
Qui pense que les autres sont racistes et bien sur intolérants.
Donc il se dit militants,au nom de tous...
De son peuple, de sa race que seul le blanc les étouffe.
Alors la haine s'installe et le sang lui s'étale
Ainsi le blanc devient rouge,c'est un bain de sang dès qu'il bouge.
Désormais j'ai la preuve que l'être humain n'aime pas l'Homme.
Trop souvent pour sa couleur,on dit rien, on fait comme...
On fait comme si...la tolérance est logique
Mais au final on le sait,trop de couleur créée la panique.
Dès lors je pars comme à l'éveil donc seul en pleurant
Je prie et je crie que soit gracié le suivant.
Ainsi je meurs de ce vide qui m'écrase depuis peu,
Sur mon coeur tant de rides qui s'écartent peu à peu...
Plus l'homme est raciste,plus l'étranger lui parait bête
Et plus la haine insiste,plus Hitler fait la fête.
Pour une couleur de peau,l'oeil se voit apeuré.
C'est la détresse d'un attristé que le mélange peut effrayer...
J'ai pris la balle de la haine,la balle du mal, de la peine
Contre laquelle on ne peut rien,celle du racisme, du chagrin.
Ce n'est pas un acte de raciste contre mon ethnie, ma couleur.
C'est juste le geste d'un homme triste qui voit le blanc en horreur...
Alors je dédie mon esprit au mal que l'homme a en lui.
Je lève le doigt de la détente qui dans sa main a était mise.
Loin de ce bruit silencieux,de cette goutte d'huile sur son feu.
Je m'adresse à l'ignorant,à toi l'idiot qui pense peu !
Tu es adepte de la bêtise et prince du mépris
Tu n'as toujours pas compris qu'à chaque seconde des vies fuient.
Elles fuient pleurs et cris qui les maintenaient en sursis
Et toi tu flingues tant de vies par jalousie et mépris.
Donc stoppe la haine de l'idiot qui pousse nos jeunes dans la rue.
C'est la révolte de mes gars qui font front à ton abus...
Enfin je m'adresse aux parents qui ont le stress de la couleur :
« N'allez plus gâcher nos vies,ne faites plus les mêmes erreurs...!!! »
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Jacques, Posté le vendredi 06 juin 2008 16:27
Ta ville
Tu n’es pas seul au monde à te prétendre humain aux portes de nos villes fermées de l’intérieur…
Les gens de mauvais genre sont des mutants d’ailleurs…
Tu n’es pas seul au siècle à vendre l’incroyable, tes mains libres et de sang, tes regards de légende, de voleurs et de honte, à nos anges de paix…
Les navires de banlieue ont percé tous les ports des accents ironiques
Les saillies de leurs mots calculés sur la haine
Les sous sols dans nos villes sont des ventres à tickets
Avaleurs d’anonymes
Propriétaires de chiens muselés sur contrat
L’arme conventionnelle des républiques et des lois
Ici les étrangers ont des rêves à revoirs
Ici tous les trésors dorment dans les pénates… Leurs volets sont fermés
Dors-tu mieux maintenant à l’auberge du ciel, le cœur comme une borne, berceau de tes orgasmes et des voilures, à l’alpine frontière de ton unique Europe ?
Tu la vois bien ta ville, nouvelle, tout de bleu ?
Ta ville parnassienne aux fronts de malvoyants… Ses préaux de faciès, gardienne des cécités...
Regarde-là ta ville... Au fond de nos bastilles, te garder la vie belle
Regarde-la ta ville... Et des faces cachées d’indigences indignes
Regarde-là ta ville... Etrange d’ironies… "Comme elle a de l’allure !"
Regarde-là ta ville ! Comme la vie, comme si elle était belle